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Et bien, oui je vous propose une nouvelle fois un recette de poisson, et une papillote !! J'ai des périodes comme cela. Il y quelques temps c'était le lapin. Une idée rapide, pour un dîner raffiné.
Ingrédients pour 4 personnes
4 pavés de cabillaud
2 échalotes
2 carottes
le jus d'une orange
4 brins de coriandre
4 cs d'huile d'olive
1/2 cc de graines de coriandre écrasées
1 étoile de badiane
Sel poivre
Peler et tailler les carottes en julienne. Peler et émincer les échalotes.
Huiler 4 carrés de papier sulfurisé. Y placer, les échalotes et les carottes.
Poser un pavé de cabillaud. Saler, poivrer et parsemer des deux coriandres.
Ajouter un éclat de badiane, et arroser d'huile et de jus d'orange.
Fermer soigneusement les papillotes.
Cuire 12 min à 200°C.
Source : Cuisine Actuelle
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A la maison, nous adorons le poisson, entier ou en filet. La papillote est une cuisson qui lui garde toute sa saveur.
Ingrédients pour 2 personnes
2 pavés de cabillaud
30 gr de raisins blonds secs
Mélange 5 baies
40 gr de beurre mou
2 brins de thym
50 ml de jus de raisin
Fleur de sel
Chemiser de papier sulfurisé deux plats individuels à gratin, en laissant dépasser largement les bords.
Badigeonner le fond de beurre au pinceau.
Déposer les pavés, assaisonner du mélange 5 baies. Ajouter les raisins secs et parsemer de thym émietté.
Ajouter deux noisettes de beurre sur chaque pavé et 1 cs de jus de raisin au fond de chaque papillote.
Fermer hermétiquement, et placer au four 15 min à 180°C.
Couper le dessus des papillotes à la sortie du four.
Saler à la fleur de sel. Servir sans attendre avec la garniture de votre choix.
Pour moi, un riz basmati nature.
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C'est en achetant un deal sur le Site GROUPON, que nous sommes partis le week-end dernier, dans une région d'excellence gastronomique !La Côte, un nom mythique pour les amateurs de vin. Un des plus célèbres vignobles du monde. La découverte de cette région est l'occasion de rencontrer ceux qui font vivre les grands crus de Bourgogne, grâce à leur savoir-faire.Pour ce court séjour, c’est à Aloxe-Corton, entre Beaune et Dijon, en plein cœur du vignoble que LES PAULANDS, hôtel ***, nous a accueilli pour nous faire profiter au mieux de cette région, et nous faire passer un séjour inoubliable.Les Paulands est installé dans une maison bourgeoise construite dans les années 1750. C’est en 1898 que s’y installe le premier exploitant propriétaire, Négociant Éleveur de vins de Bourgogne.Durant la seconde guerre mondiale, l’établissement est réquisitionné. Ce n’est qu’une dizaine d’années plus tard - en 1956 – qu’est inaugurée la partie Hôtel des Paulands .En 2001, dans le but d’offrir une restauration gastronomique à la clientèle, l’actuel dirigeant, Christophe Fasquel, entreprend d’importants travaux, dont l’installation d’une cuisine entièrement remise à neuf. Entouré d’une dizaine de collaborateurs, il développe en permanence son entreprise pour en faire « un univers de plaisirs ».Les Paulands est devenu un établissement renommé en Côte d’Or, avec le souhait toujours aussi présent de proposer le meilleur du terroir bourguignon.Aujourd’hui, il vend et expédie à ses clients en France, en Europe et dans le monde, quelques 50 000 bouteilles par an, à travers 40 appellations.Une dégustation au cellier & vente de vins. Monsieur s'est fait plaisir avec un CORTON CHARLEMAGNE et du ALOXE CORTON 1er cru "Les Vercots".Au dîner, une cuisine inventive et des saveurs du terroir, accompagnée d'une bouteille de MEURSAULT.A notre réveil, le dimanche matin, il avait neigé !!!Un copieux petit-déjeuner... et une bouteille ALOXE CORTON "Les Paulands" offerte à notre départ.L'hôtel-DieuL’histoire des Hospices de Beaune a commencé en 1443 par la volonté de Nicolas Rolin et Guigone de Salins de construire un hôpital : l’Hôtel-Dieu. Les fondateurs ont fait œuvre de charité et acte de mécénat, instituant ainsi une tradition qui a permis aux Hospices de Beaune de traverser l’histoire dans des conditions exceptionnelles. Aujourd’hui, la mission se perpétue. Les Hospices Civils de Beaune accueillent les patients au Centre Hospitalier Philippe le Bon, reçoivent aussi les personnes âgées dans les maisons de retraite de la Charité et de l’Hôtel-Dieu et les pensionnaires invalides au Centre Nicolas Rolin. Les plus démunis trouvent un réconfort à l’Antenne d’Accueil Médicale. Soucieux de rester fidèles à leurs fondateurs, les Hospices Civils de Beaune utilisent les fruits de l’activité touristique dégagée par l’Hôtel-Dieu, monument historique emblématique de la Bourgogne, et les revenus que procure la Vente des Vins des Hospices de Beaune, pour améliorer la qualité des soins et de l’hébergement et entretenir leur patrimoine.Sa vaste et haute toitute d'ardoise est le principal élément décoratif de cette sobre façade. Avec ses lucarnes, ses girouettes, ses fins pinacles et sa dentelle de plomb, elle est d'une parfaite élégance.Au centre une flèche aiguë (50 m du sol) fuse vers le ciel. Le porche d'entrée est surmonté d'un auvent dont les trois pignons d'ardoise à pendentifs se terminent en pinacles ouvragés.Les girouettes portent différents blasons. Sur la porte aux beaux ventaux, on remarque le guichet de fer forgé aux pointes acérés et le heurtoir datants du 15°siècle.Construit sur des dépendances au XVIIè siècle, le bâtiment avec son imposante toiture d'ardoise et ses épis de faîtage dorés à la feuille ne dépare pas avec l'ensemble.Nous entrons dans la cour d'honneur, entourée d'un ensemble de bâtiments à la fois gai, intime et cossu, plutôt " logis de prince qu'hospital de pauvres ".Les ailes sont surmontées d'une magnifique toiture en tuiles vernisées.Cette parure multicolore, ponctuée de tourelles est percée d'une double rangée de lucarnes et hérissée de girouettes armoriées et d'épis de plomb ouvragés.Une galerie à pans de bois, desservant le 1er étage, repose sur de légères colonnettes de pierre formant le cloître.Le vieux puits de fer forgé avec sa margelle de pierre complète cet ensemble.A l'intérieur, nous découvrons la Grand-Salle ou " chambre des pôvres " aux dimensions impressionnantes. 50 m de long, 14 m de large et 16 m de haut. Elle a conservé une magnifique voûte en carène de navire renversée, dont les longues poutres sont comme avalées par des dragons symbolisant l'enfer.28 lits à colonnes y sont impéccablement allignés.Une simple cloison de style flamboyant séparait la chapelle de la Grand-Salle permettant ainsi aux malades de suivre les offices.La Salle St-Hugues a été réaménagée dans son décor du XVIIème siècle, les lits étant ceux en usage à la fin du XIXème siècle.Les peintures murales d'Isaac Moillon représentent neuf miracles du Christ, ainsi que Saint-Hugues.La cuisine.La pharmacie avec un grand mortier (1760) dans la première salle et une superbe collection de pots en faïence du XVIIIème siècle dans la deuxième.La visite se termine avec l'exposition de tapisseries, d'objets, de coffres gothiques et d'une fontaine.La suite de notre séjour, dans un prochain article...
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Une délicieuse terrine qui a eu beaucoup de succès lors d'un dîner entre amis !
A préparer au minimum 48 heures à l'avance pour en apprécier le maximum de saveurs.
Ingrédients
5 cuisses désossées de lapin
400 gr de poitrine de porc
Barde
2 oeufs
3 échalotes
150 gr d'abricots secs
150 gr de figues sèches
100 gr de noisettes décortiquées
15 cl de vin blanc
5 cl de cognac
20 gr de beurre
1 cc de 4 épices
Sel, poivre
Découper le lapin en dés, et réserver quelques lanières.
Mettre à mariner pendant 12 heures les dés, les abricots et les figues coupés en deux, avec le vin, le cognac, les 4 épices, une cc de sel et 1/2 cc de poivre.
Faire suer les échalotes hachées à la poêle dans le beurre pendant 5 min à 7 min.
Hacher la poitrine et le lapin égoutté avec la grille à gros trous du hachoir à viande.
Mélanger avec les échalotes, les oeufs et les noisettes. Saler, poivrer.
Mettre le couvercle de la terrine et placer dans un bain-marie chaud, au four à 180°C pendant 1 H 30.
Laisser refroidir avant de placer au frais au moins 48 heures, avant de déguster.
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Aujourd'hui, nous partons en week-end, à deux !!!! Beaune,Aloxe-Corton, Gevrey Chambertin...Nous allons nous faire plaisir ! Je vous en ferais profiter dans un article prochain. En attendant, place à la recette. Des rillettes légères à tartiner ! Ingrédients 400 gr de lapin en morceaux (sans le rable)300 gr de poitrine de porc1 bouquet garni1 carotte80 gr de graisse de canard (ou de saindoux)1 oignon50 ml de vin blancPoivre en grains1 cc de gros sel Dans une grande casserole faire bouillir 1/2 litre d'eau avec le vin blanc. Ajouter la carotte et l'oignon épluchés, le bouquet garni, le sel et quelques grains de poivre. Ajouter les morceaux de lapin et la poitrine en cubes puis porter de nouveau à l'ébullition.Couvrir et laisser cuire 2 heures à feu doux. Egoutter les viandes à l'écumoir dans un plat et laisser tiédir.Effilocher les viandes en retirant les os. Dans une autre casserole ou faitout, faire fondre la graisse de canard, ajouter la viande éffilochée et mélanger sur feu doux quelques minutes.Rectifier l'assaisonnement et placer en terrine.Refroidir 24 heures avant de consommer.
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