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Ingrédients pour 6 personnes
150 gr de farine
50 gr de farine de chataîgne
100 gr de beurre
1 oeuf
2 courgettes (350gr)
2 blancs de poireaux
1 oignon
3 oeufs
250 gr de crème fraîche
100 gr de gruyère rapé
10 gr de beurre
2 cs d'huile d'olive
2 cs d'herbes hachées (cerfeuil, persil, ciboulette)
Sel, poivre du moulin
Préparer la pâte brisée avec les farines, le beurre, une pincée de sel et l'oeuf. Ajouter éventuellement un peu d'eau si la pâte est trop sèche. Former une boule et laisser poser au frais.
Emincer les courgettes, les poireaux et l'oignon préalablement lavés.
Les faire revenir dans une sauteuse avec le beurre et l'huile d'olive, à feu moyen pendant 10 min.
Saler, poivrer et laisser tiédir.
Etater la pâte dans un moule beurré. Piquer à la fourchette. Répartir les légumes sur la pâte et parsemer de gruyère rapé.
Dans un bol, mélanger les oeufs, la crème et les herbes. Saler, poivrer. Verser sur le gruyère.
Enfourner à 200°C pendant 30 min. Si la tarte dore trop vite, couvrir d'un papier sulfurisé.
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La découverte du village des Bories, à 4 km de Gordes, est incomparable.
L'harmonieuse répartition des masses horizontales et verticales, l'équilibre végétal et minéral, les jeux d'ombre, tout concourt au charme original de ce site à visiter de préférence dans le calme et la lumière du matin.
L'origine des Bories remonterait aux Ligures qui peuplaient la région plusieurs siècles avant notre ère. Ces cabanes sont bâties en pierre sèches, sans mortier, selon le principe de la fausse voute en encorbellement.
Sur les premières pentes des Monts de Vaucluse, face au Luberon, le village des Bories, avec ses bergeries, ses fours à pain, cuves à vin, aires à battre le blé, ruelles, enclos et murs d'enceinte, témoigne de l'activité laborieuse d'innombrables générations.
Près de 3000 années de continuité, puisque l'origine des bories remonte à l'âge du bronze, et que les plus récentes ont été construites au XVIIIème siècle.
Le Village des Bories, classé monument historique en 1977, constitue le groupement le plus important de cet habitat de pierre sèche, dont la plus forte concentration se trouve sur le territoire de Gordes.
Abandonné depuis plus d'un siècle, envahi par la végétation, le village avait subi les atteintes du temps et souffert de graves déprédations. Il était urgent de le restaurer et de préserver ce rare exemple d'architecture spontané heureusement intégrée au site par l'utilisation du matériau brut dans l'économie des moyens et des formes.
Il est maintenant protégé, mais ouvert aux visiteurs. Organisé en musée d'habitat rural, il abrite une collection d'objets et d'outils traditionnels de la région, et réunit une documentation sur le passé de Gordes, sur les bories et l'architecture de pierre sèche en France et dans le monde.
Poursuivons notre visite par l'Abbaye Notre-Dame de Senanque.
A quelques minutes du village des Bories, nous descendons, par une petite route très étroite et sineuse, dans le creux du vallon verdoyant où se trouve l'Abbaye.
Fondée en 1148, ce lieu est un exceptionnel témoin de l'architecture cistercienne primitive. Elle est toujours habitée par une communauté de moines cisterciens.
Tout l'édifice est ouvert à la visite. Toutefois, il y a des heures de visites guidées obligatoires. Il faut se renseigner et réserver.
Pour terminer, la promenade, quelques photos des Marchés de Provence. La difficulté dans ces marchés, c'est de faire son choix. Fruits, légumes, saveurs, couleurs, herbes, fromages, huile d'olive... Profitez du spectacle !
A bientôt pour la suite de notre séjour...
Source historique : Office de Tourisme
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Une recette du blog Les Petits Plats de Patchouka.
Vue aussi chez Manue et yasmina .
Ingrédients
500 gr de farine
1 sachet de levure boulangère deshydratée
1 oeuf moyen
150 ml de lait Ribot
150 ml de lait tiède (37°C)
3 CS de sucre
1 sachet de sucre vanillé
1 cc de sel
150 gr de beurre
1 jaune d'oeuf pour dorer
Dans le bol de votre robot, mettre le lait tiède ainsi que la levure. Mélanger jusqu'à dissolution.
Ajouter le lait fermenté puis la farine, le sucre, le sucre vanillé, le sel ainsi que l'oeuf. Pétrir environ 2 min.
Placer le pâton du bol et le placer dans un saladier, le couvrir d'un torchon et le laisser doubler de volume à l'abri des courants d'air.
Sortir le pâton, le découper en 8 boules de pâte.
Etaler chaque boule et badigeonner de beurre (fines tranches). Monter en mille-feuille (pâte, beurre, pâte...) en terminant par un disque de pâte.
Etaler au rouleau pour obtenir une pâte plus fine, puis découper en triangles.
Rouler les croissants et les laisser lever 45 minutes environ.
Badigeonner les croissants de jaune d'oeuf dilué avec un peu de lait.
Enfourner à 180°C chaleur ventilée pendant 20 à 25 min.
Nous nous sommes régaler. A refaire sans modération !!!
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Des ingrédients dans le frigo qui ne demandent qu'à être consommés... Au final, une salade gourmande et savoureuse ! Ingrédients pour 2 assiettes 1 belle tranche de melon6 tranches de magret fuméUn mélange de saladeSel, poivre 1 cs de vinaigre balsamique2 cs d'huile d'olive Assaisonner la salade avec le vinaigre, l'huile, sel.Couper le melon en tranches fines.Dresser sur assiette, la salade, le melon et les filets de magret fumé.Saupoudrer d'un tour de moulin à poivre. Une jolie photo trouvée sur la toile.
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Ingrédients pour 2 personnes 2 cuisses de canard (pas trop grosses) 2 oignons nouveaux1/4 de courgette1/4 de poivron rouge1/4 de poivron jaune1/2 tomate épépinée1/4 d'aubergineHuile d'olive1/2 cs d'herbes de provenceSel, 5 baies du moulin Désosser les cuisses de canard. Oter la peau et émincer en lanières.Faire revenir dans une sauteuse avec 1 cs d'huile d'olive. Saler, poivrer. Laisser cuire une dizaine de minutes à couvert. Réserver.Sur deux grands carrés de papier sulfurisé, déposer tous les légumes coupés en petits dés. Arroser d'un filet d'huile d'olive, saler, poivrer et parsemer d'herbes de provence.Ajouter l'émincé de canard. Fermer la papillote en aumônière.Enfourner sur la plaque du four à 180°C 20 à 25 min. Ma bignone pour Colette
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